Page 1 sur 2 • 1, 2
- ally-netAdministratrice
- Nombre de messages : 5257
Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Sam 13 Jan 2007 - 7:06
Ici...
La Chanson Française : son histoire, les évènements culturels, artistiques, scientifiques, historiques qui s'y rattachent.
La Chanson Française : son histoire, les évènements culturels, artistiques, scientifiques, historiques qui s'y rattachent.
- ally-netAdministratrice
- Nombre de messages : 5257
Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
la chanson française....
Dim 14 Jan 2007 - 6:17
Pour débuter, un clic sur
http://www.chanson.udenap.org/
Une Chanson
Paroles: S.Makhno. Musique: Charles Dumont 1977
Il n'est qu'un point de poésie
Dans le ciel des matins de pluie
Le satin rose de ta peau
Que je caresse avec des mots
C'est un baiser un peu futile
Dans un tendre matin d'avril
C'est une bouteille à la mer
Une oasis dans le désert
Une chanson
C'est trois fois rien une chanson
C'est du champagne un frisson
Une chanson
Une chanson
A quoi ça sert une chanson
Ça dure à peine une saison
Une chanson
Ce n'est qu'un point dans l'infini
Un petit bout de mélodie
Que l'on invente sur un piano
Et qu'on habille avec des mots
C'est un prénom sur une page
Un jour un mois juste une image
Et dans le fleuve d'aujourd'hui
C'est sûrement toute ma vie
Refrain...
Une chanson
C'est trois fois rien une chanson
C'est du champagne un frisson
Une chanson
Une chanson
C'est peu de chose une chanson
Mais dis-moi c'que nous ferions
S'il n'y avait plus de chansons
http://www.chanson.udenap.org/
Une Chanson
Paroles: S.Makhno. Musique: Charles Dumont 1977
Il n'est qu'un point de poésie
Dans le ciel des matins de pluie
Le satin rose de ta peau
Que je caresse avec des mots
C'est un baiser un peu futile
Dans un tendre matin d'avril
C'est une bouteille à la mer
Une oasis dans le désert
Une chanson
C'est trois fois rien une chanson
C'est du champagne un frisson
Une chanson
Une chanson
A quoi ça sert une chanson
Ça dure à peine une saison
Une chanson
Ce n'est qu'un point dans l'infini
Un petit bout de mélodie
Que l'on invente sur un piano
Et qu'on habille avec des mots
C'est un prénom sur une page
Un jour un mois juste une image
Et dans le fleuve d'aujourd'hui
C'est sûrement toute ma vie
Refrain...
Une chanson
C'est trois fois rien une chanson
C'est du champagne un frisson
Une chanson
Une chanson
C'est peu de chose une chanson
Mais dis-moi c'que nous ferions
S'il n'y avait plus de chansons
- ally-netAdministratrice
- Nombre de messages : 5257
Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
histoire de la chanson...
Mar 16 Jan 2007 - 23:03
Parce qu'il nous arrive de fredonner des airs dont nous ignorons tout, d'avoir des mots souvent entendus dans notre enfance qui nous viennent à l'esprit sans savoir pourquoi, parce qu'il est rageant d'avoir des bribes de chansons sans en retrouver l'intégralité, cette partie du forum vous aidera à retrouver quelques chansons du patrimoine français.
- ally-netAdministratrice
- Nombre de messages : 5257
Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
La chansons françiase....
Mer 17 Jan 2007 - 15:45
(1875 - 1956)
MISTINGUETT
C’est dans le quartier populaire d’Enghien-les-Bains que Jeanne Bourgeois voit le jour le 3 avril 1875.
À douze ans, elle obtient du directeur l’autorisation de s’installer devant l’entrée pour vendre des fleurs aux clients. Cédant à son désir de quitter l’école pour devenir artiste, ses parents lui font prendre des cours de violon à Paris. Les trajets en train sont l’occasion de nouvelles rencontres, notamment d’un auteur de spectacles qui la baptise “Mistinguette”. C’est sous ce nom qu’elle débute au café-concert, en 1893, dans les salles de quartier de la capitale.
MISTINGUETT
C’est dans le quartier populaire d’Enghien-les-Bains que Jeanne Bourgeois voit le jour le 3 avril 1875.
À douze ans, elle obtient du directeur l’autorisation de s’installer devant l’entrée pour vendre des fleurs aux clients. Cédant à son désir de quitter l’école pour devenir artiste, ses parents lui font prendre des cours de violon à Paris. Les trajets en train sont l’occasion de nouvelles rencontres, notamment d’un auteur de spectacles qui la baptise “Mistinguette”. C’est sous ce nom qu’elle débute au café-concert, en 1893, dans les salles de quartier de la capitale.
- ally-netAdministratrice
- Nombre de messages : 5257
Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
Mistinguett
Mer 17 Jan 2007 - 15:56
C'est Vrai
Oui c'est moi me voilà je m'ramène
mais de vienne il fallait que j'revienne
car je n'peux pas moi j'vous l'dit m'passer d'paris
Ce paris qui pourtant vous chine tant et tant
On dit que j'aime les aigrettes
Les plumes et les toilettes
C'est vrai
On dit que j'ai la voix qui traine
En chantant mes rengaines
C'est vrai
Lorsque ça monte trop haut
Moi je m'arrête
Et d'ailleurs on n'est pas ici à l'opéra
On dit que j'ai l'nez en trompette
Mais j's'rais pas Mistinguett
Si j'étais pas comme ça
Que c'est bon quand on vient d'Amsterdam
Et qu'on a vu pendant des mois des tas de pays
De r'trouver l'macadam de Panam
Ses autobus et son metro et ses taxis
Paris et ses boulevards avec tous ses bobards
On dit que j'ai de grandes quenottes
Que je n'ai que trois notes
C'est vrai
On dit que j'aime jouer les arpètes,
Les marchandes de violettes
C'est vrai
Mais n'voulant pas chiper aux grandes Coquettes leur dame aux camélias
Moi j'vends mes begonias
On dit que j'fais voir mes gambettes
Mais j's'rais pas Mistinguett
Si j'étais pas comme ça
On dit quand je fais mes emplettes
Que j'paie pas c'que j'achète
C'est vrai
On dit partout et l'on répète
Que j'lâche pas mes pépètes
C'est vrai
Mais si elle faisait comme moi
Pour sa galette
Marianne n'aurait pas
Un budget aussi bas
Et si l'on mettait à la tête des finances Mistinguett
On n'en serait pas là !
Oui c'est moi me voilà je m'ramène
mais de vienne il fallait que j'revienne
car je n'peux pas moi j'vous l'dit m'passer d'paris
Ce paris qui pourtant vous chine tant et tant
On dit que j'aime les aigrettes
Les plumes et les toilettes
C'est vrai
On dit que j'ai la voix qui traine
En chantant mes rengaines
C'est vrai
Lorsque ça monte trop haut
Moi je m'arrête
Et d'ailleurs on n'est pas ici à l'opéra
On dit que j'ai l'nez en trompette
Mais j's'rais pas Mistinguett
Si j'étais pas comme ça
Que c'est bon quand on vient d'Amsterdam
Et qu'on a vu pendant des mois des tas de pays
De r'trouver l'macadam de Panam
Ses autobus et son metro et ses taxis
Paris et ses boulevards avec tous ses bobards
On dit que j'ai de grandes quenottes
Que je n'ai que trois notes
C'est vrai
On dit que j'aime jouer les arpètes,
Les marchandes de violettes
C'est vrai
Mais n'voulant pas chiper aux grandes Coquettes leur dame aux camélias
Moi j'vends mes begonias
On dit que j'fais voir mes gambettes
Mais j's'rais pas Mistinguett
Si j'étais pas comme ça
On dit quand je fais mes emplettes
Que j'paie pas c'que j'achète
C'est vrai
On dit partout et l'on répète
Que j'lâche pas mes pépètes
C'est vrai
Mais si elle faisait comme moi
Pour sa galette
Marianne n'aurait pas
Un budget aussi bas
Et si l'on mettait à la tête des finances Mistinguett
On n'en serait pas là !
- ally-netAdministratrice
- Nombre de messages : 5257
Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
...Minstinguett-Chevalier
Lun 22 Jan 2007 - 16:58
A l'affiche des Folies Bergère, de la Scala, des Ambassadeurs, du Moulin rouge, elle est la partenaire de Maurice Chevalier en 1911 aux Folies Bergère dans la 'Valse renversante'. Ils vivent une histoire d'amour, interrompue par la guerre. Leur séparation fait naître un tube en 1920, 'Mon homme'.
Maurice Chevalier :
"L'âge mûr est le plus beau de tous. On est assez vieux pour reconnaître ses erreurs passées, mais encore assez jeune pour en commettre de nouvelles."
Maurice Chevalier :
"L'âge mûr est le plus beau de tous. On est assez vieux pour reconnaître ses erreurs passées, mais encore assez jeune pour en commettre de nouvelles."
- ally-netAdministratrice
- Nombre de messages : 5257
Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
Re: La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Lun 22 Jan 2007 - 17:09
VALENTINE
Maurice Chevalier
On se rappelle toujours sa première maîtresse
J'ai gardé d'la mienne un souvenir pleine d'ivresse
Un jour qu'il avait plu
Tous deux on s'était plu
Ensuite on se plut de plus en plus
J'lui d'mandait son nom, elle me dit Valentine
Et comme elle suivait chaque soir la rue Custine
Je pris le même chemin
Et puis j'lui pris la main
J'lui pris tout enfin
Elle avait des tous petits petons, Valentine, Valentine
Elle avait des tous petits tétons
Que je tâtais à tâtons, Ton ton tontaine
Elle avait un tout petit menton, Valentine, Valentine
Outre ses petits petons ses petits tétons son petit menton
Elle était frisée comme un mouton
Elle n'était pas une grande intelligence
Mais dans un plumard, ça n'a pas d'importance
Quand on a dix-huit ans
On n'en demande pas tant
Du moment qu'on s'aime, on est content
Elle n'avait pas un très bon caractère
Elle était jalouse et même autoritaire
Pourtant, j'en étais fou
Elle me plaisait beaucoup
Parce que surtout
Elle avait des tous petits petons, Valentine, Valentine
Elle avait des tous petits tétons
Que je tâtais à tâtons, Ton ton tontaine
Elle avait un tout petit menton, Valentine, Valentine
Outre ses petits petons ses petits tétons son petit menton
Elle était frisée comme un mouton
Hier, sur le boulevard, je rencontre une grosse dame
Avec des grands pieds, une taille d'hippopotame
Vivement elle m'saute au cou
Me crie bonjour, mon loup
Je lui dis pardon, mais qui êtes vous
Elle sourit voyons, mais c'est moi, Valentine
Devant son double menton, sa triple poitrine
Je pensais, rempli d'effroi
Qu'elle a changé , ma foi
Dire qu'autre fois
Elle avait des tout petits petons, Valentine
Mais ils sont enflés à présent Valentine
Elle avait des tout petits tétons des vraie p'tite pommes
Non non j'aime mieux parler d'autre chose voila
Elle avait elle avait un tout petit menton, avec une p'tite pincette
Elle en a quatre ou cinq mentons maintenant
Oh cette pauvre petite Valentine ça d'vrait pas être permis ça non
C'est des trucs qui ne devraient pas être permis
Non
Maurice Chevalier
On se rappelle toujours sa première maîtresse
J'ai gardé d'la mienne un souvenir pleine d'ivresse
Un jour qu'il avait plu
Tous deux on s'était plu
Ensuite on se plut de plus en plus
J'lui d'mandait son nom, elle me dit Valentine
Et comme elle suivait chaque soir la rue Custine
Je pris le même chemin
Et puis j'lui pris la main
J'lui pris tout enfin
Elle avait des tous petits petons, Valentine, Valentine
Elle avait des tous petits tétons
Que je tâtais à tâtons, Ton ton tontaine
Elle avait un tout petit menton, Valentine, Valentine
Outre ses petits petons ses petits tétons son petit menton
Elle était frisée comme un mouton
Elle n'était pas une grande intelligence
Mais dans un plumard, ça n'a pas d'importance
Quand on a dix-huit ans
On n'en demande pas tant
Du moment qu'on s'aime, on est content
Elle n'avait pas un très bon caractère
Elle était jalouse et même autoritaire
Pourtant, j'en étais fou
Elle me plaisait beaucoup
Parce que surtout
Elle avait des tous petits petons, Valentine, Valentine
Elle avait des tous petits tétons
Que je tâtais à tâtons, Ton ton tontaine
Elle avait un tout petit menton, Valentine, Valentine
Outre ses petits petons ses petits tétons son petit menton
Elle était frisée comme un mouton
Hier, sur le boulevard, je rencontre une grosse dame
Avec des grands pieds, une taille d'hippopotame
Vivement elle m'saute au cou
Me crie bonjour, mon loup
Je lui dis pardon, mais qui êtes vous
Elle sourit voyons, mais c'est moi, Valentine
Devant son double menton, sa triple poitrine
Je pensais, rempli d'effroi
Qu'elle a changé , ma foi
Dire qu'autre fois
Elle avait des tout petits petons, Valentine
Mais ils sont enflés à présent Valentine
Elle avait des tout petits tétons des vraie p'tite pommes
Non non j'aime mieux parler d'autre chose voila
Elle avait elle avait un tout petit menton, avec une p'tite pincette
Elle en a quatre ou cinq mentons maintenant
Oh cette pauvre petite Valentine ça d'vrait pas être permis ça non
C'est des trucs qui ne devraient pas être permis
Non
- ally-netAdministratrice
- Nombre de messages : 5257
Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
les années 20
Mar 30 Jan 2007 - 11:59
Une autre étoile apparaît à l'horizon de la chanson française :
Joséphine Baker
Joséphine Baker, de son vrai nom Freda Josephine McDonald (née le 3 juin 1906 à Saint Louis, Missouri, et décédée le 12 avril 1975 à Paris), est une célèbre chanteuse, danseuse et meneuse de revue. D'origine métissée afro-américaine et amérindienne des Appalaches, elle est souvent considérée comme la première star noire. Elle prend la nationalité française en 1937.
L'année 2006-2007 marquera le 100e anniversaire de la naissance de Joséphine Baker, formidable danseuse, meneuse de revue, comédienne et chanteuse, qui s'engagea courageusement pour des causes telles que la Résistance pendant la guerre, la défense pour les droits civiques des Noirs américains ou encore celle des enfants abandonnés. A l'occasion de cet anniversaire, l'association Tous Enfants de Joséphine Baker a mis en place une plate-forme de communication qui viendra tout au long de l'année fédérer, soutenir et promouvoir les projets commémorant dans le monde entier la mémoire de cette grande dame. On comptera notamment une exposition suivie d'un concert de Dee Dee Bridgewater à Saint-Louis, la ville natale de Joséphine Baker, une croisière hommage sur un paquebot de prestige reliant la France aux Etats-Unis, la sortie du livre de son fils Brian Baker ou bien encore un film de fiction inédit sur sa vie diffusé sur France 2. Beaucoup d'autres expositions itinérantes, colloques, spectacles, comédies musicales, ouvrages photographiques, documentaires, enrichiront aussi ce centenaire qui se clôturera par la remise du prix international Joséphine Baker, décerné chaque année pour saluer et distinguer le travail ou la carrière de personnalités, d'organismes, d'institutions ou d'associations incarnant les valeurs chères à Joséphine Baker.
Joséphine Baker
Joséphine Baker, de son vrai nom Freda Josephine McDonald (née le 3 juin 1906 à Saint Louis, Missouri, et décédée le 12 avril 1975 à Paris), est une célèbre chanteuse, danseuse et meneuse de revue. D'origine métissée afro-américaine et amérindienne des Appalaches, elle est souvent considérée comme la première star noire. Elle prend la nationalité française en 1937.
L'année 2006-2007 marquera le 100e anniversaire de la naissance de Joséphine Baker, formidable danseuse, meneuse de revue, comédienne et chanteuse, qui s'engagea courageusement pour des causes telles que la Résistance pendant la guerre, la défense pour les droits civiques des Noirs américains ou encore celle des enfants abandonnés. A l'occasion de cet anniversaire, l'association Tous Enfants de Joséphine Baker a mis en place une plate-forme de communication qui viendra tout au long de l'année fédérer, soutenir et promouvoir les projets commémorant dans le monde entier la mémoire de cette grande dame. On comptera notamment une exposition suivie d'un concert de Dee Dee Bridgewater à Saint-Louis, la ville natale de Joséphine Baker, une croisière hommage sur un paquebot de prestige reliant la France aux Etats-Unis, la sortie du livre de son fils Brian Baker ou bien encore un film de fiction inédit sur sa vie diffusé sur France 2. Beaucoup d'autres expositions itinérantes, colloques, spectacles, comédies musicales, ouvrages photographiques, documentaires, enrichiront aussi ce centenaire qui se clôturera par la remise du prix international Joséphine Baker, décerné chaque année pour saluer et distinguer le travail ou la carrière de personnalités, d'organismes, d'institutions ou d'associations incarnant les valeurs chères à Joséphine Baker.
- ally-netAdministratrice
- Nombre de messages : 5257
Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
j'ai deux amours
Mar 30 Jan 2007 - 12:16
J'ai deux amours
Joséphine Baker
Paroles: Géo Keger et Henri Varna. Musique: Claude Vence
On dit qu'au delà des mers
Là-bas sous le ciel clair
Il existe une cité
Au séjour enchanté
Et sous les grands arbres noirs
Chaque soir
Vers elle s'en va tout mon espoir
J'ai deux amours
Mon pays et Paris
Par eux toujours
Mon cœur est ravi
Ma savane est belle
Mais à quoi bon le nier
Ce qui m'ensorcelle
C'est Paris, Paris tout entier
Le voir un jour
C'est mon rêve joli
J'ai deux amours
Mon pays et Paris
Quand sur la rive parfois
Au lointain j'aperçois
Un paquebot qui s'en va
Vers lui je tends les bras
Et le cœur battant d'émoi
A mi-voix
Doucement je dis "emporte-moi !"
J'ai deux amours...
Joséphine Baker
Paroles: Géo Keger et Henri Varna. Musique: Claude Vence
On dit qu'au delà des mers
Là-bas sous le ciel clair
Il existe une cité
Au séjour enchanté
Et sous les grands arbres noirs
Chaque soir
Vers elle s'en va tout mon espoir
J'ai deux amours
Mon pays et Paris
Par eux toujours
Mon cœur est ravi
Ma savane est belle
Mais à quoi bon le nier
Ce qui m'ensorcelle
C'est Paris, Paris tout entier
Le voir un jour
C'est mon rêve joli
J'ai deux amours
Mon pays et Paris
Quand sur la rive parfois
Au lointain j'aperçois
Un paquebot qui s'en va
Vers lui je tends les bras
Et le cœur battant d'émoi
A mi-voix
Doucement je dis "emporte-moi !"
J'ai deux amours...
la tendresse
Mer 31 Jan 2007 - 10:20
Bourvil savait me faire rire et pleurer !
N'est pas à cela qu'on reconnait le talent ...
Né(e) le 27 Juillet 1917
Mort(e) le 23 Septembre 1970
Après des essais désastreux dans des cabarets, il débute au cinéma en 1945, dans "la Ferme du pendu", de Jean Dréville, et enchaîne succès sur succès avec des réalisateurs comme H. G. Clouzot, André Hunebelle, Claude AutantLara, Marc Allégret, Christian-Jaque, Gérard Oury ou encore Jean-Pierre Melville. Il a également brillé sur scène, dans des comédies ou des opérettes. Il s'éteindra quelques jours seulement après la fin du tournage du "Cercle Rouge"...
On parle souvent de l'acteur mais j'aimais aussi le chanteur ...
Aller je me fais plaisir !
La tendresse :
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Etre inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien... on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long
Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien
Non, non, non, non
L'amour ne serait rien
Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n'est plus qu'un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D'un cœur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n'irait pas plus loin
Un enfant vous embrasse
Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos cœurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l'amour
Règne l'amour
Jusqu'à la fin des jours
N'est pas à cela qu'on reconnait le talent ...
Né(e) le 27 Juillet 1917
Mort(e) le 23 Septembre 1970
Après des essais désastreux dans des cabarets, il débute au cinéma en 1945, dans "la Ferme du pendu", de Jean Dréville, et enchaîne succès sur succès avec des réalisateurs comme H. G. Clouzot, André Hunebelle, Claude AutantLara, Marc Allégret, Christian-Jaque, Gérard Oury ou encore Jean-Pierre Melville. Il a également brillé sur scène, dans des comédies ou des opérettes. Il s'éteindra quelques jours seulement après la fin du tournage du "Cercle Rouge"...
On parle souvent de l'acteur mais j'aimais aussi le chanteur ...
Aller je me fais plaisir !
La tendresse :
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Etre inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien... on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long
Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien
Non, non, non, non
L'amour ne serait rien
Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n'est plus qu'un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D'un cœur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n'irait pas plus loin
Un enfant vous embrasse
Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos cœurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l'amour
Règne l'amour
Jusqu'à la fin des jours
- ally-netAdministratrice
- Nombre de messages : 5257
Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
Re: La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Mer 31 Jan 2007 - 12:45
Bourvil émouvant : très belle chanson
- ally-netAdministratrice
- Nombre de messages : 5257
Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
LA MOME PIAF
Jeu 8 Fév 2007 - 12:53
Dans le cadre de la sortie du film "La Mome", le 14 Février prochain,
j'ai pensé éditer ici le texte d'une des nombreuses chansons interprétées
par Edith Piaf, ma préférée étant La Foule, reprise d'une chanson folklorique argentine "Amor de mis amores"
http://www.evene.fr/celebre/biographie/edith-piaf-2970.php
http://www.francisdionne.qc.ca/sommaire/piaf.htm
j'ai pensé éditer ici le texte d'une des nombreuses chansons interprétées
par Edith Piaf, ma préférée étant La Foule, reprise d'une chanson folklorique argentine "Amor de mis amores"
http://www.evene.fr/celebre/biographie/edith-piaf-2970.php
http://www.francisdionne.qc.ca/sommaire/piaf.htm
- ally-netAdministratrice
- Nombre de messages : 5257
Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
Re: La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Jeu 8 Fév 2007 - 12:59
LA FOULE
Paroles: Michel Rivgauche. Musique: Angel Cabral
Je revois la ville en fête et en délire
Suffoquant sous le soleil et sous la joie
Et j'entends dans la musique les cris, les rires
Qui éclatent et rebondissent autour de moi
Et perdue parmi ces gens qui me bousculent
Étourdie, désemparée, je reste là
Quand soudain, je me retourne, il se recule,
Et la foule vient me jeter entre ses bras...
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux.
Entraînés par la foule qui s'élance
Et qui danse
Une folle farandole
Nos deux mains restent soudées
Et parfois soulevés
Nos deux corps enlacés s'envolent
Et retombent tous deux
Épanouis, enivrés et heureux...
Et la joie éclaboussée par son sourire
Me transperce et rejaillit au fond de moi
Mais soudain je pousse un cri parmi les rires
Quand la foule vient l'arracher d'entre mes bras...
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Nous éloigne l'un de l'autre
Je lutte et je me débats
Mais le son de sa voix
S'étouffe dans les rires des autres
Et je crie de douleur, de fureur et de rage
Et je pleure...
Entraînée par la foule qui s'élance
Et qui danse
Une folle farandole
Je suis emportée au loin
Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole
L'homme qu'elle m'avait donné
Et que je n'ai jamais retrouvé...
Paroles: Michel Rivgauche. Musique: Angel Cabral
Je revois la ville en fête et en délire
Suffoquant sous le soleil et sous la joie
Et j'entends dans la musique les cris, les rires
Qui éclatent et rebondissent autour de moi
Et perdue parmi ces gens qui me bousculent
Étourdie, désemparée, je reste là
Quand soudain, je me retourne, il se recule,
Et la foule vient me jeter entre ses bras...
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux.
Entraînés par la foule qui s'élance
Et qui danse
Une folle farandole
Nos deux mains restent soudées
Et parfois soulevés
Nos deux corps enlacés s'envolent
Et retombent tous deux
Épanouis, enivrés et heureux...
Et la joie éclaboussée par son sourire
Me transperce et rejaillit au fond de moi
Mais soudain je pousse un cri parmi les rires
Quand la foule vient l'arracher d'entre mes bras...
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Nous éloigne l'un de l'autre
Je lutte et je me débats
Mais le son de sa voix
S'étouffe dans les rires des autres
Et je crie de douleur, de fureur et de rage
Et je pleure...
Entraînée par la foule qui s'élance
Et qui danse
Une folle farandole
Je suis emportée au loin
Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole
L'homme qu'elle m'avait donné
Et que je n'ai jamais retrouvé...
- Gavroche_Forecnet
- Nombre de messages : 2448
Localisation : Lorrain mais citoyen du monde..
Emploi : Poseur de pavés sur les barricades...
Date d'inscription : 19/01/2007
Re: La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Jeu 8 Fév 2007 - 15:33
Pour moi, la plus belle chanson interprétée par Edith Piaf, c'est : Mon Dieu
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu !
Laissez-le-moi
Encore un peu,
Mon amoureux !
Un jour, deux jours, huit jours...
Laissez-le-moi
Encore un peu
A moi...
Le temps de s'adorer,
De se le dire,
Le temps de se fabriquer
Des souvenirs.
Mon Dieu ! Oh oui...mon Dieu !
Laissez-le-moi
Remplir un peu
Ma vie...
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu !
Laissez-le-moi
Encore un peu,
Mon amoureux.
Six mois, trois mois, deux mois...
Laissez-le-moi
Pour seulement
Un mois...
Le temps de commencer
Ou de finir,
Le temps d'illuminer
Ou de souffrir,
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu !
Même si j'ai tort,
Laissez-le-moi
Un peu...
Même si j'ai tort,
Laissez-le-moi
Encore...
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu !
Laissez-le-moi
Encore un peu,
Mon amoureux !
Un jour, deux jours, huit jours...
Laissez-le-moi
Encore un peu
A moi...
Le temps de s'adorer,
De se le dire,
Le temps de se fabriquer
Des souvenirs.
Mon Dieu ! Oh oui...mon Dieu !
Laissez-le-moi
Remplir un peu
Ma vie...
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu !
Laissez-le-moi
Encore un peu,
Mon amoureux.
Six mois, trois mois, deux mois...
Laissez-le-moi
Pour seulement
Un mois...
Le temps de commencer
Ou de finir,
Le temps d'illuminer
Ou de souffrir,
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu !
Même si j'ai tort,
Laissez-le-moi
Un peu...
Même si j'ai tort,
Laissez-le-moi
Encore...
Re: La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Jeu 8 Fév 2007 - 15:35
Pour moi la plus belle reste l'Hymne à l'amour !
Je ne fais pas dans l'originalité je sais mais ... c'est mon coté fleur bleue qui prend le dessus ...
Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer
Et la terre peut bien s'écrouler
Peu m'importe si tu m'aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu'l'amour inond'ra mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m'importe les problèmes
Mon amour puisque tu m'aimes
J'irais jusqu'au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J'irais décrocher la lune
J'irais voler la fortune
Si tu me le demandais
Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n'importe quoi
Si tu me le demandais
Si un jour la vie t'arrache à moi
Si tu meurs que tu sois loin de moi
Peu m'importe si tu m'aimes
Car moi je mourrais aussi
Nous aurons pour nous l'éternité
Dans le bleu de toute l'immensité
Dans le ciel plus de problèmes
Mon amour crois-tu qu'on s'aime
Dieu réunit ceux qui s'aiment
....
Je ne fais pas dans l'originalité je sais mais ... c'est mon coté fleur bleue qui prend le dessus ...
Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer
Et la terre peut bien s'écrouler
Peu m'importe si tu m'aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu'l'amour inond'ra mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m'importe les problèmes
Mon amour puisque tu m'aimes
J'irais jusqu'au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J'irais décrocher la lune
J'irais voler la fortune
Si tu me le demandais
Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n'importe quoi
Si tu me le demandais
Si un jour la vie t'arrache à moi
Si tu meurs que tu sois loin de moi
Peu m'importe si tu m'aimes
Car moi je mourrais aussi
Nous aurons pour nous l'éternité
Dans le bleu de toute l'immensité
Dans le ciel plus de problèmes
Mon amour crois-tu qu'on s'aime
Dieu réunit ceux qui s'aiment
....
- LassoForecnet
- Nombre de messages : 1563
Localisation : Provence
Emploi : Retraité
Date d'inscription : 14/01/2007
Re: La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Jeu 8 Fév 2007 - 15:53
Je n'ai jamais aimé cette chanson.
Elle est très belle mais ...........je ne la supporte pas.
Ce n'est pas la seule qui me fait cet effet. Il y a aussi : Ne
me quitte pas de Brel, Je suis malade de Lama et Comme
d'Habitude de Claude François.
Je ne peux les écouter. Et ne me demandez pas pourquoi car
je suis incapable de le dire.
J'entends déjà les cris scandalisés que ces propos vont
déclancher mais j'assume. Désolè !
Elle est très belle mais ...........je ne la supporte pas.
Ce n'est pas la seule qui me fait cet effet. Il y a aussi : Ne
me quitte pas de Brel, Je suis malade de Lama et Comme
d'Habitude de Claude François.
Je ne peux les écouter. Et ne me demandez pas pourquoi car
je suis incapable de le dire.
J'entends déjà les cris scandalisés que ces propos vont
déclancher mais j'assume. Désolè !
- LassoForecnet
- Nombre de messages : 1563
Localisation : Provence
Emploi : Retraité
Date d'inscription : 14/01/2007
Re: La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Jeu 8 Fév 2007 - 15:57
Sinon, j'aime beaucoup d'autres chansons de Piaf comme :
Plus bleu que tes yeux
Les amants de Paris
Non je ne regrette rien
Milord
La foule
Je m'en fou pas mal
Bal dans la rue
Les neiges de Finlande
A quoi ça sert l'amour
etc......................
Et justement, je suis en train d'écouter une compil de la
môme Piaf
Plus bleu que tes yeux
Les amants de Paris
Non je ne regrette rien
Milord
La foule
Je m'en fou pas mal
Bal dans la rue
Les neiges de Finlande
A quoi ça sert l'amour
etc......................
Et justement, je suis en train d'écouter une compil de la
môme Piaf
Re: La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Jeu 8 Fév 2007 - 20:33
Lasso
pas de cris non juste un sourire en lisant ton post, peut être qu'elles te dérangent peut être parce qu'elles ne sont pas réalistes peut être et peut être tout simplement qu'elles ne te plaisent pas
Pour moi je pars du principe qu'il en faut pour tous les goûts .
Et j'ai mes chansons comme ça que je ne supporte pas la mama d'Aznavour par ex.
et oui Piaf en a bien d'autres et j'écoute également une compil avec notamment son interprétation d'exodus ... magnifique ... pour moi
pas de cris non juste un sourire en lisant ton post, peut être qu'elles te dérangent peut être parce qu'elles ne sont pas réalistes peut être et peut être tout simplement qu'elles ne te plaisent pas
Pour moi je pars du principe qu'il en faut pour tous les goûts .
Et j'ai mes chansons comme ça que je ne supporte pas la mama d'Aznavour par ex.
et oui Piaf en a bien d'autres et j'écoute également une compil avec notamment son interprétation d'exodus ... magnifique ... pour moi
- LassoForecnet
- Nombre de messages : 1563
Localisation : Provence
Emploi : Retraité
Date d'inscription : 14/01/2007
Re: La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Jeu 8 Fév 2007 - 21:54
Bien sur qu'il en faut pour tous les goûts et heureusement.
KingCharles, je ne peux pas dire qu'elles ne me plaisent pas car ce sont de très belles chansons mais....................
Comme je l'ai déjà dit, je ne peux les écouter et je ne sais pas pourquoi. Sûrement que certaines qui me plaisent horipilent d'autres. C'est la vie.
Moi non plus je ne supporte pas la chanson d'Aznavour : La mamma. Je l'avais oubliée dans ma liste.
On ne peux expliquer pourquoi telle ou telle chanson t'accroche et pourquoi d'autres énervent. C'est ainsi et pourquoi chercher toujours à expliquer le pourquoi ?
Ceci dit, j'aime beaucoup Piaf, Lama et Aznavour. Brel un peu moins. Désolé!
KingCharles, je ne peux pas dire qu'elles ne me plaisent pas car ce sont de très belles chansons mais....................
Comme je l'ai déjà dit, je ne peux les écouter et je ne sais pas pourquoi. Sûrement que certaines qui me plaisent horipilent d'autres. C'est la vie.
Moi non plus je ne supporte pas la chanson d'Aznavour : La mamma. Je l'avais oubliée dans ma liste.
On ne peux expliquer pourquoi telle ou telle chanson t'accroche et pourquoi d'autres énervent. C'est ainsi et pourquoi chercher toujours à expliquer le pourquoi ?
Ceci dit, j'aime beaucoup Piaf, Lama et Aznavour. Brel un peu moins. Désolé!
- ally-netAdministratrice
- Nombre de messages : 5257
Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
Re: La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Jeu 8 Fév 2007 - 22:33
Je ne veux pas jouer les psycho... logues, mais je pense que,
effectivement, certaines chansons (ou plutôt textes) nous dérangent parcequ'on y retrouve un peu de notre vécu, ce vécu qu'on essaie sans doute d'oublier.
Et ces chansons nous y entrainent, comme le ferait un courant dans la rivière de nos souvenirs.
Pour "comme d'habitude", j'ai un ami , qui est membre de ce forum (Tege... si tu me lis ...!!!) qui n'arrive pas à l'écouter, sans doute parceque cela rappelle la monotonie qui peut s'installer dans un couple , monotonie qui amène souvent à sa destruction.
effectivement, certaines chansons (ou plutôt textes) nous dérangent parcequ'on y retrouve un peu de notre vécu, ce vécu qu'on essaie sans doute d'oublier.
Et ces chansons nous y entrainent, comme le ferait un courant dans la rivière de nos souvenirs.
Pour "comme d'habitude", j'ai un ami , qui est membre de ce forum (Tege... si tu me lis ...!!!) qui n'arrive pas à l'écouter, sans doute parceque cela rappelle la monotonie qui peut s'installer dans un couple , monotonie qui amène souvent à sa destruction.
- LassoForecnet
- Nombre de messages : 1563
Localisation : Provence
Emploi : Retraité
Date d'inscription : 14/01/2007
Re: La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Ven 9 Fév 2007 - 3:49
Tu as sûrement raison Ally.
Je croie que pour moi aussi Comme d'habitude est la chanson que je supporte le moins d'écouter. Il y en a d'autres comme j'ai déjà dit mais celle là est celle qui m'énerverai le plus.
Sûrement que ces chansons doivent nous ramener à notre vécu et de toute façon, elles ne nous laissent pas indifférent. C'est déjà ça.
Je croie que pour moi aussi Comme d'habitude est la chanson que je supporte le moins d'écouter. Il y en a d'autres comme j'ai déjà dit mais celle là est celle qui m'énerverai le plus.
Sûrement que ces chansons doivent nous ramener à notre vécu et de toute façon, elles ne nous laissent pas indifférent. C'est déjà ça.
- ally-netAdministratrice
- Nombre de messages : 5257
Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
Re: La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Sam 10 Fév 2007 - 14:44
Plus bleu que le bleu de tes yeux
Paroles et Musique: Charles Aznavour 1951
Interprète : Edith Piaf
Lorsque je lève les yeux,
Je rencontre le ciel
Et je me dis : "Mon Dieu,
Mais c'est sensationnel,
Tant de bleu."
Lorsque je lève les yeux,
Je rencontre tes yeux
Et je me dis : "Mon Dieu,
C'est vraiment merveilleux,
Tant de bleu."
Plus bleu que le bleu de tes yeux,
Je ne vois rien de mieux,
Même le bleu des cieux.
Plus blond que tes cheveux dorés
Ne peut s'imaginer,
Même le blond des blés.
Plus pur que ton souffle si doux,
Le vent, même au mois d'août,
Ne peut être plus doux.
Plus fort que mon amour pour toi,
La mer, même en furie,
Ne s'en approche pas.
Plus bleu que le bleu de tes yeux,
Je ne vois rien de mieux,
Même le bleu des cieux.
Si un jour tu devais t'en aller
Et me quitter,
Mon destin changerait tout-à-coup
Du tout au tout.
Plus gris que le gris de ma vie,
Rien ne serait plus gris,
Pas même un ciel de pluie.
Plus noir que le noir de mon cœur,
La terre en profondeur
N'aurait pas sa noirceur.
Plus vide que mes jours sans toi,
Aucun gouffre sans fond
Ne s'en approchera.
Plus long que mon chagrin d'amour,
Même l'éternité
Près de lui serait court.
Plus gris que le gris de ma vie,
Rien ne serait plus gris,
Pas même un ciel de pluie.
On a tort de penser, je sais bien,
Aux lendemains.
A quoi bon se compliquer la vie
Puisqu'aujourd'hui...
Plus bleu que le bleu de tes yeux,
Je ne vois rien de mieux,
Même le bleu des cieux.
Plus blond que tes cheveux dorés
Ne peut s'imaginer,
Même le blond des blés.
Plus pur que ton souffle si doux,
Le vent, même au mois d'août,
Ne peut être plus doux.
Plus fort que mon amour pour toi
La mer, même en furie,
Ne s'en approche pas.
Plus bleu que le bleu de tes yeux,
Je ne vois que les rêves
Que m'apportent tes yeux...
Lorsque je lève les yeux,
Je rencontre le ciel
Et je me dis : "Mon Dieu,
Mais c'est sensationnel,
Tant de bleu."
Lorsque je lève les yeux,
Je rencontre tes yeux
Et je me dis : "Mon Dieu,
C'est vraiment merveilleux,
Tant de bleu."
Plus bleu que le bleu de tes yeux,
Je ne vois rien de mieux,
Même le bleu des cieux.
Plus blond que tes cheveux dorés
Ne peut s'imaginer,
Même le blond des blés.
Plus pur que ton souffle si doux,
Le vent, même au mois d'août,
Ne peut être plus doux.
Plus fort que mon amour pour toi,
La mer, même en furie,
Ne s'en approche pas.
Plus bleu que le bleu de tes yeux,
Je ne vois rien de mieux,
Même le bleu des cieux.
Si un jour tu devais t'en aller
Et me quitter,
Mon destin changerait tout-à-coup
Du tout au tout.
Plus gris que le gris de ma vie,
Rien ne serait plus gris,
Pas même un ciel de pluie.
Plus noir que le noir de mon cœur,
La terre en profondeur
N'aurait pas sa noirceur.
Plus vide que mes jours sans toi,
Aucun gouffre sans fond
Ne s'en approchera.
Plus long que mon chagrin d'amour,
Même l'éternité
Près de lui serait court.
Plus gris que le gris de ma vie,
Rien ne serait plus gris,
Pas même un ciel de pluie.
On a tort de penser, je sais bien,
Aux lendemains.
A quoi bon se compliquer la vie
Puisqu'aujourd'hui...
Plus bleu que le bleu de tes yeux,
Je ne vois rien de mieux,
Même le bleu des cieux.
Plus blond que tes cheveux dorés
Ne peut s'imaginer,
Même le blond des blés.
Plus pur que ton souffle si doux,
Le vent, même au mois d'août,
Ne peut être plus doux.
Plus fort que mon amour pour toi
La mer, même en furie,
Ne s'en approche pas.
Plus bleu que le bleu de tes yeux,
Je ne vois que les rêves
Que m'apportent tes yeux...
Re: La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Mar 13 Fév 2007 - 9:07
Ma liberté
longtemps je t'ai gardée
comme une perle rare.
Ma liberté,
c'est toi qui m'as aidé
à larguer les amarres,
pour aller n'importe où
pour aller jusqu'au bout
des chemins de fortune,
pour cueillir en rêvant
une rose des vents
sur un rayon de lune!
Ma liberté
devant tes volontés
ma vie était soumise
ma liberté,
je t'avais tout prêté
ma dernière chemise
Et combien j'ai souffert
pour pouvoir satisfaire
toutes tes exigences!
J'ai changé de pays,
j'ai perdu mes amis
pour garder ta confiance!
Ma liberté,
tu as su désarmer
mes moindres habitudes
ma liberté,
toi qui m'as fait aimer
même la solitude.
Toi qui m'as fait sourire
quand je voyais finir une belle aventure,
toi qui m'a protégé
quand j'allais me cacher
pour soigner mes blessures!
Ma liberté,
pourtant je t'ai quittée
une nuit de décembre.
J'ai déserté
les chemins écartés
que nous suivions ensembles,
lorsque, sans me méfier,
les pieds et poings liés
je me suis laissé faire,
et je t'ai trahi
pour une prison d'amour
et sa belle geôlière!
et je t'ai trahi
pour une prison d'amour
et sa belle geôlière!
longtemps je t'ai gardée
comme une perle rare.
Ma liberté,
c'est toi qui m'as aidé
à larguer les amarres,
pour aller n'importe où
pour aller jusqu'au bout
des chemins de fortune,
pour cueillir en rêvant
une rose des vents
sur un rayon de lune!
Ma liberté
devant tes volontés
ma vie était soumise
ma liberté,
je t'avais tout prêté
ma dernière chemise
Et combien j'ai souffert
pour pouvoir satisfaire
toutes tes exigences!
J'ai changé de pays,
j'ai perdu mes amis
pour garder ta confiance!
Ma liberté,
tu as su désarmer
mes moindres habitudes
ma liberté,
toi qui m'as fait aimer
même la solitude.
Toi qui m'as fait sourire
quand je voyais finir une belle aventure,
toi qui m'a protégé
quand j'allais me cacher
pour soigner mes blessures!
Ma liberté,
pourtant je t'ai quittée
une nuit de décembre.
J'ai déserté
les chemins écartés
que nous suivions ensembles,
lorsque, sans me méfier,
les pieds et poings liés
je me suis laissé faire,
et je t'ai trahi
pour une prison d'amour
et sa belle geôlière!
et je t'ai trahi
pour une prison d'amour
et sa belle geôlière!
Serge Reggianni et musique de Moustaki deux amours de Piaf
- ally-netAdministratrice
- Nombre de messages : 5257
Localisation : Lorraine-Moselle
Emploi : travailleur social à la retraite
Date d'inscription : 08/01/2007
Re: La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Mar 13 Fév 2007 - 9:11
Ma liberté... chanson chère à mon ami gete... (membre très
passif... du forum )
passif... du forum )
- LassoForecnet
- Nombre de messages : 1563
Localisation : Provence
Emploi : Retraité
Date d'inscription : 14/01/2007
Re: La chanson française et son histoire : 1900- 2000
Mar 13 Fév 2007 - 9:59
Très belle chanson de Georges Moustaki
également interprétée par Serge Reggiani
également interprétée par Serge Reggiani
Page 1 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|